Dans mon dernier roman, Open space, j’évoque les relations au travail (et plus si affinités) au sein d’une grande entreprise.
En ce qui me concerne, le « plus si affinités » est assez rare… sans doute parce que je suis très difficile, voir asociale 😉
Il faut des exceptions pour confirmer les règles. Bertrand aura été l’une de ces exceptions.
J’écris « aura été » non pas parce qu’il a quitté la planète, mais parce qu’il a quitté notre entreprise bien aimée…
Nous avons œuvré ensemble pendant 3 ans. Un travail d’équipe sans faille, des résolutions à toute épreuve. Et nous sommes devenus amis grâce aux parties cachées de nos icebergs respectifs.
Tour à tour, technicien, poète, musicien, sorte de couteau suisse de l’informatique, clé usb en terra octets de mémoire, infatigable blagueur et grincheux à certaines heures…
L’ami idéal.
Bon… c’est mon oraison funèbre ?
tu veux vraiment que je pleure, c’est ça !! ;-(
allez, va… t’as perdu un collègue, mais tu as gagné un ami ! LOL tu n’es pas perdante au change !!!
Bon… c’est mon oraison funèbre ?
tu veux vraiment que je pleure, c’est ça !! ;-(
allez, va… t’as perdu un collègue, mais tu as gagné un ami ! LOL tu n’es pas perdante au change !!!
Bon… c’est mon oraison funèbre ?
tu veux vraiment que je pleure, c’est ça !! ;-(
allez, va… t’as perdu un collègue, mais tu as gagné un ami ! LOL tu n’es pas perdante au change !!!